La Société canadienne d’hypothèques et de logement affirme que la croissance des loyers a fortement chuté cette année. tel que Canada Augmenter la plus grande part de Offre locative spécialement conçue en plus de Trois décennies
Même si la croissance des loyers ralentit Mais l’autorité du logement a déclaré que l’accessibilité restait « limitée », affirmant que l’augmentation du parc locatif était due aux logements plus chers déjà construits. Beaucoup de ces logements sont trop chers pour le locataire moyen.
La Federal Housing Administration a déclaré mardi dans un rapport que Le taux d’inoccupation des appartements locatifs spécialement construits était de 2,2 % en octobre. Lorsque l’enquête annuelle Cela venait de g Il s’agissait d’un niveau record de 1,5 pour cent l’année dernière.
Loyer moyen d’un appartement de deux chambres construit à cet effet, que la SCHL utilise comme exemple. Augmentation de 5,4 pour cent à 1 447 $, contre une augmentation de 8 pour cent en 2023.
Le nombre représente le montant réel que le locataire a payé pour son logement. Cela signifie que le prix moyen est souvent inférieur à ce qui est indiqué dans d’autres rapports. Cela mesure le loyer moyen fixé par le propriétaire.
Par exemple, le loyer médian d’un appartement de deux chambres construit à cet effet le mois dernier était de 2 294 $, selon une étude distincte de Rentals.ca et d’Urbanation.
La SCHL affirme que les loyers augmentent de 23,5 pour cent lorsque les logements sont transférés. Ce chiffre est similaire aux taux de 2023. Les augmentations de loyer pour les logements renouvelables représentent plus de 40 % des augmentations globales des loyers en 2024.
Il indique que l’offre d’appartements locatifs spécialement construits au Canada a augmenté de 4,1 % d’une année sur l’autre. Il s’agit de la plus forte augmentation depuis plus de 30 ans.
« L’abordabilité pour les locataires canadiens demeure un défi. Cela est particulièrement vrai pour les nouveaux locataires qui font face à des augmentations de loyer importantes lorsque le logement est retourné. Restreindre la mobilité des locataires existants et rend plus difficile l’entrée sur le marché pour les locataires potentiels », a déclaré Tania Bourassa-Ochoa, économiste en chef adjointe de la SCHL, dans un communiqué.
« cependant La croissance record de l’offre de logements locatifs a contribué à ralentir la croissance moyenne des loyers. et augmenter le taux d’inoccupation pour le rapprocher de la moyenne historique. Cela renforce le rôle important que joue l’augmentation de l’offre dans l’amélioration de l’abordabilité du logement.
Entre-temps Le loyer médian d’un condo de deux chambres est de 2 199 $, le taux d’inoccupation de ces logements restant inchangé à 0,9 % par an.
La croissance des prix des loyers a ralenti dans certaines villes.
Le rapport révèle que Toronto a enregistré la plus faible croissance des loyers de toutes les grandes régions, soit 2,7 pour cent, contre 8,8 pour cent en 2023, en raison de taux d’inoccupation plus élevés et du taux de roulement le plus faible. Quand l’offre locative augmente Il semble que les propriétaires de Toronto utilisent « Une approche plus prudente » dans la hausse des loyers Selon l’analyse de la SCHL
De plus, il est également indiqué que La construction achevée d’appartements locatifs à Montréal demeure parmi les plus élevées jamais enregistrées. Cela se traduit par un taux d’inoccupation plus élevé. Pendant ce temps, l’offre de logements locatifs à Vancouver a augmenté à un rythme plus lent qu’au cours des deux dernières années. Mais il reste supérieur au taux historique.
sur les deux marchés La demande toujours élevée signifie que la croissance des loyers n’a pas ralenti autant qu’à Toronto.
La croissance des loyers à Calgary ralentit Il augmentera « considérablement » d’ici 2024, mais dépassera toujours tous les autres grands centres urbains en raison d’une forte demande. Cela est dû à la croissance démographique et à des conditions économiques stables.
Halifax a également connu une forte croissance de l’offre de logements locatifs. Mais la croissance démographique ralentit. Cela conduit à un taux d’inoccupation plus élevé. et les baisses les plus importantes de la croissance moyenne des loyers dans les principaux marchés.
Contrairement à la plupart des régions Ottawa et Edmonton ont vu la croissance des loyers s’accélérer légèrement cette année. Cela est principalement dû aux augmentations de loyer plus élevées pour les nouveaux locataires à mesure que les résultats et les logements nouvellement achevés entrent sur le marché.
